Numéro |
OCL
Volume 13, Numéro 4, Juillet-Août 2006
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Page(s) | 272 - 277 | |
Section | Cycle du développement et PMA | |
DOI | https://doi.org/10.1051/ocl.2006.0038 | |
Publié en ligne | 15 juillet 2006 |
Les limites des discussions internationales sur la libéralisation de l’agriculture : les oublis du débat et les « oubliés de l’Histoire »
Cirad – Banque mondiale
Abstract
40% of the world population is concerned with the questions related to the liberalization of agriculture. In spite of this outstanding importance, the current intense international debate on liberalization is biased by five major problems: the overestimation of price effects; the underestimation of structure effects; the minimization of confrontation effects between different types of agriculture; the carelessness about questions related to economic transition and finally; the lack of historical perspective. These biases prevent to pay attention to the existing risks of transition dead-ends for many developing countries, particularly the least developed countries and many of the low income countries where agriculture is still a strategic economic sector. The concrete answers that will be given to this transition challenge will impact the future of the world’s geopolitics.
Key words: trade / integration / competitiveness / transition / economic history / migrations
Économiste au Cirad, UPR Arena et UMR Moïsa détaché à la Banque mondiale dans le cadre d’un programme conjoint entre la Banque mondiale et l’aide française sur les implications structurelles de la libéralisation pour l’agriculture des PED. Les opinions exprimées dans cet article sont évidemment propres à l’auteur et ne reflètent pas nécessairement les vues du groupe de la Banque mondiale.
© John Libbey Eurotext 2006
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