Numéro |
OCL
Volume 8, Numéro 6, Novembre-Décembre 2001
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Page(s) | 577 - 583 | |
Section | Dossier : L’avenir des cultures pérennes | |
DOI | https://doi.org/10.1051/ocl.2001.0577 | |
Publié en ligne | 15 novembre 2001 |
Echecs de marchés et pauvreté : l’exemple de la filière cacao en Côte d’Ivoire
CERDI - Université d’Auvergne, 65, boulevard François-Mitterrand, 63000
Clermont-Ferrand, France
La question posée ici est donc de savoir si, dans une économie où les défaillances de marché sont multiples, le désengagement de l’État a conduit à une amélioration du bien-être des planteurs, plus particulièrement des pauvres, ou non. Nous montrons, dans un premier point, que la libéralisation a entraîné une rupture dans le mode de coordination des agents au sein de la filière, rupture dont les conséquences sur la pauvreté sont ensuite examinées. Quatre critères de pauvreté sont considérés [2] : le niveau de revenu, la vulnérabilité face au risque de revenu, l’accès aux biens et services publics et la participation des paysans aux décisions au sein de la filière.
© John Libbey Eurotext 2001
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